- 4 juillet 2010Jean-claude Le Gouallec
- Just marriedJe viens de regarder les images du mariage, je vous adresse mes félicitations......JC et son accordéon
- I bought an accordianJean-claude, I often think of your time on board the Picton Castle and the music you would play. I wish I had better memories of the songs you played. The only thing I remember is that I loved hearing you play. The songs were really wonderful to listen to and really added to the sea-fairing experience.
So, a few weeks ago I bought an accordian with dreams of recapturing some of the music you would play. I must learn to walk though before I can run. Can you suggest anything to help me get started?
Hope you are well.
- vendrediJean-claude Le Gouallec
- Je suis très heureux de savoir que tu aie acheté un accordéon
Est ce un accordéon Diatonique comme le mien????ou un chromatique???
Il existe des tablatures pour faciliter l'apprentissage si c'est un diatonique, deux sons par note suivant que tu pousse ou que tu tire
Tape" accordéon diatonique" dans Google
Je suis à La Réunion chez Rosane jusqu'au 26 mars
et je vais à Madagascar le 5 mars-12 mars..
Aujourd'hui j'ai 69 ans, comme Morgan....
- vendrediJean-claude Le Gouallec
- tu vas sur le site "Diato amateur" c'est très pédagogique..Sam a vu la photo sur facebook elle a réagit dans la seconde
- Mon accordéon est dans les gammes SOL et Do
dimanche 26 février 2012
Musique Marine
Casier à Homards
Le savoir faire perdu par la société de consommation bling bling....Instinct de survie, tout est dans la nature, manger le homard que l'on pêche sans avoir besoin d'aller au Fouquets....fier d'être breton du monde oublié!!!!C'est un beau cadeau pour mes 69 ans....un maron bretin têtu!!!!!
La construction de Kernoc'h sur: http:// histoiremaritimebretagnenord.ji mdo.com/constructions-navales/ kernoc-h/
Par : Pierre-Yves Decosse
Vous et 5 autres personnes aimez ça.
Jean-François Daveo C'est quand même bien plus beau qu'un casier en plastoc !
Il y a 10 heures · · 1
Jean-claude Le Gouallec 2 galets ronds usés par la mer, de l'osier tressé qui pousse au fond du jardin près d'un fossé humide, une ligne tressée en chanvre, trois brins, une baguette de bois épluchée au couteau, et des petites galettes de liège, et l'habileté des doigts apprise à la veillée au coin de la cheminée à une soirée de filage arrosée d'un grog au miel pour éloigner la bronchite.... c'est un beau film pour la télé......
jeudi 23 février 2012
CARENAGE, GODILLE, PLISSON
Plisson le peintre en batiment de Malestroit, un homme pas ordinaire
Abattage en carène à quai
*********************
Juste un trou de nage dans le tableau arrière du canot et l'aviron prend ses appuis d'un côté puis de l'autre, c'est toujours le même côté de la pelle qui appuie sur l'eau, la pelle fait un 8 dans l'eau
Même une femme peut godiller
Au départ il s'est arrêté à Houat car il ne savait pas comment utiliser son sextant, un gars de Vannes est venu lui expliquer
Construit à la main entre deux pommiers dans le jardin de sa mère, en planche de sapin
Arrivé aux Antilles les clous avaient roillés et on lui avait amené des pointes en cuivre de Vannes, il a tout reclouté son bateau avant de repartir, je me souviens de son arrivée à Conleau
Si je me souviens bien, il avait installé sur le" cokpit ", une bassine à l'envers, y avait fait des trous vitrés pour servir de bulle d'observation comme sur les mousquetaires club
"François Virginie", du nom de ses enfants, est le bateau que construisit Roger Plisson et avec lequel il réalisa un premier tour du monde. Roger était peintre en bâtiment, il venait de tenter l'ascension du Mont Blanc mais avait échoué à cause des conditions météo. Il considéra que, en attendant une occasion plus propice pour satisfaire son goût de la haute montagne, il pourrait faire un petit tour de la planète bleue...
Voici ce qu'il disait il y quelques années: Je ne suis pas un marin. J'ai trop de respect pour eux... Je suis un descendant de paysan, né dans le quartier de Saint-Michel à Malestroit en novembre 1919.
« Mes aventures, c'est de l'amusement qui a rempli ma vie. Au départ, il y a les cinq années de captivité (onze camps différents dont celui disciplinaire de Rawa Ruska, quatre tentatives d'évasion, toujours repris). Tu sors de là-dedans... Je ne pensais pas être mobilisé car j'avais eu le « croup » (diphtérie) et il m'en restait des séquelles. Je n'en garde aucune rancoeur. Je prendrais bien la nationalité allemande : j'aime leur esprit civique !
« En 1952, je fais un tour de France (4 500 km de visite aidé du Guide vert Michelin) sur un vélo fabriqué avec des pièces récupérées. Dix ans plus tard, je me retrouve en Palestine à vélo. Je devais aller en Égypte mais je n'ai pu obtenir de visa.
« Je me suis dit puisque je suis là, je vais aller voir où Jésus-Christ a, soi-disant, vécu (Bethléem, Nazareth...). Les Palestiniens et Israéliens me font pitié. Ils sont les fils du même ancêtre et n'arrêtent pas de se chercher des crosses !
Un tour du monde en 18 mois
« Dans les années 60, je décide de faire l'ascension du Mont-Blanc. Mais le temps ne s'y prête pas. Je dis au guide : je reviendrai, je vais faire autre chose.
« Entre-temps j'ai fait le tour du monde en 18 mois sur le François-Virginie, un voilier construit de mes mains qui prenait l'eau de partout au retour (mât cassé à deux reprises,...)
« Le Mont-Blanc, je l'ai gravi dans les années 70. J'avais emporté une bouteille de pinard jusqu'au sommet. Elle contenait des glaçons. Ça n'a pas empêché d'en boire un verre !
« Je suis reparti avec un autre voilier de ma fabrication, le Jeanne de Vannes, dans les années 80. Mais cela s'est terminé par un échouage en Australie. Mes deux expériences de navigation n'ont rien à voir avec les courses autour du monde. Moi ce n'est que de l'aventure. Eux, c'est de la compétition et une affaire de pognon. Je suis contre.
« J'ai aussi sauté en parachute dix fois et couru vingt marathons. Pendant 20 ans, j'ai fait une quinzaine de semi-marathons par an. Le dernier c'était en 1995.
Profiter du moment qui passe
« Aujourd'hui, je vis en foyer logement. Je profite du moment qui passe quel qu'il soit. Ma devise : Carpe diem. Mon présent, c'est la retraite que je n'ai peut-être pas méritée mais que j'ai.
« Il me reste assez sur ma pension pour le Bordeaux et le tabac gris. J'ai utilisé une centaine de pipes ! Je mets les pieds sous la table tous les midis. On vient faire mon ménage une fois par semaine. Tous les lundis je vais remonter l'horloge du café le Corlazzo à Conleau.
« On est un petit groupe d'anciens qui se souhaitent mutuellement les anniversaires. Lundi, on fêtera celui de ma femme qui vit dans son appartement. Tous les dimanches, elle vient manger avec moi. J'ai du mal à vivre en couple.
« Il ne se passe pas un jour sans que je réfléchisse à la vie. Rien n'est important : ni la vie, ni la mort. Les humains se prennent pour le nombril du monde alors qu'ils ne sont que des mammifères parmi d'autres ! Ils ont créé des dieux pour se faire valoir à leurs propres yeux.
« Beaucoup ne profitent pas du temps présent. Pour cela, il faut savoir trouver les ressources en soi. C'est particulièrement vrai pour la santé (mentale et physique). »
Recueilli parJean-Charles MICHEL Ouest-France
...Roger ne se prenait jamais au sérieux. Un soir qu'il dinait chez nous une de nos filles lui demanda quelles étaient d'après lui les qualités qui lui avaient permis de faire ces voyages peu ordinaires il lui avait répondu: "la chance, Marie, la chance...à 75 %. "
-Et les 25 % restants, c'est quoi ?
- Un peu de connaissances et le courage de regarder ses peurs; mais surtout la curiosité et l'envie d'aller voir ailleurs...le part d'enfant qu'il y a en nous, en quelque sorte !
Roger nous a quitté en 2009.
Chapeau à ce bonhomme du pays gallo!!!!!
Voici ce qu'il disait il y quelques années: Je ne suis pas un marin. J'ai trop de respect pour eux... Je suis un descendant de paysan, né dans le quartier de Saint-Michel à Malestroit en novembre 1919.
« Mes aventures, c'est de l'amusement qui a rempli ma vie. Au départ, il y a les cinq années de captivité (onze camps différents dont celui disciplinaire de Rawa Ruska, quatre tentatives d'évasion, toujours repris). Tu sors de là-dedans... Je ne pensais pas être mobilisé car j'avais eu le « croup » (diphtérie) et il m'en restait des séquelles. Je n'en garde aucune rancoeur. Je prendrais bien la nationalité allemande : j'aime leur esprit civique !
« En 1952, je fais un tour de France (4 500 km de visite aidé du Guide vert Michelin) sur un vélo fabriqué avec des pièces récupérées. Dix ans plus tard, je me retrouve en Palestine à vélo. Je devais aller en Égypte mais je n'ai pu obtenir de visa.
« Je me suis dit puisque je suis là, je vais aller voir où Jésus-Christ a, soi-disant, vécu (Bethléem, Nazareth...). Les Palestiniens et Israéliens me font pitié. Ils sont les fils du même ancêtre et n'arrêtent pas de se chercher des crosses !
Un tour du monde en 18 mois
« Dans les années 60, je décide de faire l'ascension du Mont-Blanc. Mais le temps ne s'y prête pas. Je dis au guide : je reviendrai, je vais faire autre chose.
« Entre-temps j'ai fait le tour du monde en 18 mois sur le François-Virginie, un voilier construit de mes mains qui prenait l'eau de partout au retour (mât cassé à deux reprises,...)
« Le Mont-Blanc, je l'ai gravi dans les années 70. J'avais emporté une bouteille de pinard jusqu'au sommet. Elle contenait des glaçons. Ça n'a pas empêché d'en boire un verre !
« Je suis reparti avec un autre voilier de ma fabrication, le Jeanne de Vannes, dans les années 80. Mais cela s'est terminé par un échouage en Australie. Mes deux expériences de navigation n'ont rien à voir avec les courses autour du monde. Moi ce n'est que de l'aventure. Eux, c'est de la compétition et une affaire de pognon. Je suis contre.
« J'ai aussi sauté en parachute dix fois et couru vingt marathons. Pendant 20 ans, j'ai fait une quinzaine de semi-marathons par an. Le dernier c'était en 1995.
Profiter du moment qui passe
« Aujourd'hui, je vis en foyer logement. Je profite du moment qui passe quel qu'il soit. Ma devise : Carpe diem. Mon présent, c'est la retraite que je n'ai peut-être pas méritée mais que j'ai.
« Il me reste assez sur ma pension pour le Bordeaux et le tabac gris. J'ai utilisé une centaine de pipes ! Je mets les pieds sous la table tous les midis. On vient faire mon ménage une fois par semaine. Tous les lundis je vais remonter l'horloge du café le Corlazzo à Conleau.
« On est un petit groupe d'anciens qui se souhaitent mutuellement les anniversaires. Lundi, on fêtera celui de ma femme qui vit dans son appartement. Tous les dimanches, elle vient manger avec moi. J'ai du mal à vivre en couple.
« Il ne se passe pas un jour sans que je réfléchisse à la vie. Rien n'est important : ni la vie, ni la mort. Les humains se prennent pour le nombril du monde alors qu'ils ne sont que des mammifères parmi d'autres ! Ils ont créé des dieux pour se faire valoir à leurs propres yeux.
« Beaucoup ne profitent pas du temps présent. Pour cela, il faut savoir trouver les ressources en soi. C'est particulièrement vrai pour la santé (mentale et physique). »
Recueilli parJean-Charles MICHEL Ouest-France
...Roger ne se prenait jamais au sérieux. Un soir qu'il dinait chez nous une de nos filles lui demanda quelles étaient d'après lui les qualités qui lui avaient permis de faire ces voyages peu ordinaires il lui avait répondu: "la chance, Marie, la chance...à 75 %. "
-Et les 25 % restants, c'est quoi ?
- Un peu de connaissances et le courage de regarder ses peurs; mais surtout la curiosité et l'envie d'aller voir ailleurs...le part d'enfant qu'il y a en nous, en quelque sorte !
Roger nous a quitté en 2009.
Chapeau à ce bonhomme du pays gallo!!!!!
Abattage en carène à quai
*********************
Abattage en carène à quai ( du temps des thoniers, dundées
Cette opération consistait à coucher sur le flanc le navire pour se contenter d’un simple espalmage à marée basse dans le port, ou tout navire ayant besoin de soins sur la partie immergée de la coque, particulièrement le long de la carène.
Il s’agit, pour cette opération, de nombreux dundées thoniers et de gros caboteurs lors du grand carénage qui est effectué tous les 4 ans.
Il n’est pas évidemment pas simple de coucher sur le côté un navire pouvant atteindre 100 tonneaux.
Voici la méthode utilisée par les anciens
D’abord, il faut un navire deux navires, en fonction de la dimension du bateau : anciennes chaloupes pontées ou vieux dundées, rasés, mais munis de cabestans et treuils. Ils viennent à couple du bâtiment à abattre. A bord de celui-ci, tout ce qui peut se déplacer est solidement arrimé ou débarqué. Les écoutilles sont soigneusement bouchées et rigoureusement étanche, ainsi que les panneaux de cales. Les drisses reliées aux mâts du navire sont alors passées sur les treuils, raidies, et petit à petit le navire s’incline.
Il faut avant tout veiller à ne pas risquer de briser le mât en l’épontillant, et surveiller que les haubans tiennent bon.
Lorsque la quille émerge, les calfats peuvent travailler sur des radeaux flottants entre elle et le quai. Le travail consiste à vérifier l’étoupe et la changer si besoin. Il est très important de bien soigner le calfatage de la râblure de la quille qui constitue pour le navire en bois son point névralgique par excellence.
On brûle le coaltar de la coque pour s’occuper de l’étoupe, et on vérifie s’il y a des bordés à changer. Après un bon coup de coaltar neuf, on remet peu à peu le navire d’aplomb, puis on recommence de l’autre côté cette fois la même opération.
Abattage en carène d'un navire à quai
Abattage en carène d'un navire à quai
Godiller
Juste un trou de nage dans le tableau arrière du canot et l'aviron prend ses appuis d'un côté puis de l'autre, c'est toujours le même côté de la pelle qui appuie sur l'eau, la pelle fait un 8 dans l'eau
Les moteur hors bord n'existaient pas, ici le mousse"perche "avec l'aviron pour avancer par manque d'eau, c'est un jeu d'enfant
Même une femme peut godiller
vendredi 17 février 2012
DALAI LAMA
On a demandé au Dalaï
Lama:"Qu'est-ce qui vous surprend le plus dans
l'humanité....,?"
Il a répondu:"Les Hommes.... Parce qu'ils perdent leur santé pour accumuler de l'argent, ensuite il perdent de l'argent pour récupérer leur santé. Et a penser anxieusement au futur, ils oublient le présent de telle sorte qu'ils finissent par non vivre ni le présent, ni le futur. Ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir....et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu." DALAï - Lama |
jeudi 2 février 2012
Breih 56
le 02/02/2012
Photos du mur
Bretagne " La Robe Gwenn-ha-Du " le drapeau breton, se décline en de nombreuses formes. Caleçons et les paillassons ... La Robe Gwenn-ha-Du créée par l'artiste quimpéroise Caroline Roux nous a tout particulièrement interpellée pour son élégance. |
Gilles Pichavant
Sympa ! Mais sais-tu d'où vient le drapeau dit "breton" ? Il s'agit d'un rafistolage du drapeau du Parti National Breton, dont le drapeau a été créé au début du 20e siècle. Il sa subit plusieurs évolutions dans cette période, et, pendant la... 2e guerre mondiale, le PNB avant enlevé les pattes d'hermines pour les remplacer par ds croix gammées. Dans ma jeunesse, mon père, bretonnant de naissance et résistant dans les FTPF dans la Pointe du Raz(29), nous a toujours interdit de porter ce drapeau, car il avait combattu les militants du PTB qui était un parti collaborateur, et plusieurs de ses camarades avaient été massacrés par eux. A noter qu'il seront nombreux à s'engager dans la Division Charlemagne de sinistre mémoire, pour combattre sur le front de l'Est puis à Berlin. Donc ce drapeau, pour moi, est souillé du sang des martyrs de la Résistance.Afficher la suite
Il y a 13 heures
Mathieu Guihard
à Gilles et Agnès : le gwen-ha-du a été créé en 1923 par Morvan Marchal, un architecte originaire de Vitré. C'était un militant indépendantiste de gauche, franc-maçon et anti-clérical, bien loin de l'extrême-droite donc... Le gwenn-ha-du es...t le drapeau de la Bretagne, comme tous les drapeaux nationaux il appartient à tout le monde, dire que c'était le drapeau du PNB n'a pas de sens puisqu'il peut être utilisé par n'importe qui. Quant à accuser le PNB de collaboration j'aimerais bien qu'on compare avec le PCF, allié des nazis jusqu'à la rupture du pacte germano-sociétique en 1941! Et puis la division Charlemagne alors là c'est vraiment n'importe quoi : elle était justement composée de FRANCAIS dont le drapeau était très loin d'être le gwenn-ha-du... le drapeau français je ne dis pas! Bref vos accusatiouns sont infondées et proviennent de sources bien connues qu'on nous ressort régulièrement dès que les Bretons deviennent un peu trop "gênant"... des jacobins trainent dans la boue tout ce qui n'est pas estampillé bleu blanc rouge. Sur ce j'espère que vous aurez la curiosité et l'honneteté iuntellectuelle de revoir ce que vous écrivez car cela nuit à la Bretagne et profite à des gens loin d'être bien intentionnés. Sur ce bonne journée!
Stéphane Péan Cette pauvre femme qui devient extrêmiste de droite à son insu ! Il faut revenir sur terre quand même ... Morvan Marchal était un moderniste et voulait que la Bretagne ait un drapeau moderne. D'ailleurs, l'extrême droite bretonne comme le groupuscule ADSAV actuel (proche idéologiquement de Mordrel, un des leaders du PNB) refuse ce drapeau et préfère l'étendard croix noir sur fond blanc !
Il y a 21 heures · · 1
Mathieu Guihard a partagé un lien.
« Je viens d'adhérer au Parti breton, parce que je pense qu'il est nécessaire de faire entendre sa voix. Ce parti me semble éviter les «ismes». J'ai beaucoup discuté avec des amis déjà au Parti breton avant d'adhérer moi-même, car je voulai...s savoir dans quoi je m'engageais. Connaissant l'histoire politique de la Bretagne, je préférai faire quelque chose tourné vers le développement et l'avenir. Il me semble que j'ai trouvé là des gens qui sont réalistes. Au Parti breton, j'ai trouvé des gens qui permettent l'échange, le dialogue sans extrémisme pour construire avec du sens et du bon sens. »
JY Lafesse interviewé sur l'ABP : http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=24587Afficher la suite
JY Lafesse interviewé sur l'ABP : http://www.agencebretagnepresse.com/fetch.php?id=24587Afficher la suite
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